Nastassja Koudriavtsev

"La pionne aux chaussettes" de Jigoku

Dans ma tête...

(Bon alors en attendant que Ian reprenne la main, Heine il va dire que de la merde sur Nastassja, je vous préviens.)

Hum... Sans doute tout le contraire du tyran que le commun des mortels a jugé bon de me donner comme soeur. Je me trouve moins frontale qu'elle, sans doute plus subtile dans ce que je fais. Mais je ne vais pas me comparer à elle, je n'ai absolument rien à voir. J'adore les sucreries, j'arrêterai de m'en gaver pour rien au monde. De toute façon je grossis pas, alors... >:
Je suis une vraie gamine, j'aime bien me comporter comme une enfant pour ne pas attirer les soupçons sur moi. Parce qu'en réalité je peux être une vraie manipulatrice et quand ma sœur et moi on décide de faire la paire, ça fait mal~
Et mieux vaut ne pas me faire chier, j'ai du caractère et je suis assez bougon. Nan mais oh. D'ailleurs je peux finir par vous attacher un peu n'importe où avec mes chaussettes. Elles sont longues et élastiques, et je fais des nœuds tellement compliqués qu'il n'y a que moi pour les défaire. Alors me les cassez pas si vous voulez pas connaître le courroux de Stocking la Maléfique.

Sur ma tête...

J'ai renié la blondeur naturelle de mes cheveux pour me les teindre en bleu et en rose. Je m'habille souvent en gothic lolita et je ne me sépare rarement de mon doudou (sauf pendant les rondes à Jigoku, vous pensez bien). Habituée à me protéger du froid tout en gardant ma féminité, je porte toujours de longs bas à rayures horizontales. J'ai de grands yeux bleus candides et le teint un peu pâle.

Ce qui s'est passé dans ma tête (et pas que)...

Ouh là... Et bien, figurez-vous que c'est digne d'un blockbuster américain ! Alors voilà, à la base je suis pas du touuut une pionne ! À la base je suis dans la mafia, avec ma sœur, on était employées par les russes pour protéger leur main basse sur le pétrole ! Et voilà, un jour où on devait liquider un gang de yakuzas au Japon, les policiers nous ont repérées grâce à un indic' et nous ont arrêtées. Mais ma sœur a fait un drôle de numéro et du coup on nous a relâchées à la seule et unique condition qu'on travaille pour les forces de police japonaises. Et voilà comment je me suis retrouvée ici, à devoir surveiller des petits merdeux et à me retrouver obligée de planquer ma bouffe pour pas qu'on me la pique. >:

Behind the screen